Mamers

Le jeudi 27 mai 1790, la municipalité de Mamers enregistrait des lois, lettres patentes et des proclamations du roi. En fin de délibération la municipalité décidait d’affecter une somme de 800#, allouée par l’assemblée provinciale du Maine pour travaux de charité, à la réfection des chemins de traverse de la ville. Le procureur de la commune était chargé de se rendre au Mans pour percevoir cette somme et en même temps d’obtenir le montant des impositions portant sur la forêt de Perseigne pour les six derniers mois de 1789. ... [Lire la suite]

Le jeudi 27 mai 1790, la municipalité de Mamers enregistrait des lois, lettres patentes et des proclamations du roi. En fin de délibération la municipalité décidait d’affecter une somme de 800#, allouée par l’assemblée provinciale du Maine pour travaux de charité, à la réfection des chemins de traverse de la ville. Le procureur de la commune était chargé de se rendre au Mans pour percevoir cette somme et en même temps d’obtenir le montant des impositions portant sur la forêt de Perseigne pour les six derniers mois de 1789. ... [Lire la suite]

Le vendredi 15 mai 1790, la municipalité de Mamers décidait de se porter acquéreur des travaux de réfection de la route menant à Saint-Cosme-en-Vairais par adjudication au rabais le lundi 18 mai prochain. Et ce afin de fournir de l’ouvrage à ses concitoyens privés d’emploi.  « [marge gauche haut du feuillet 55 verso : N° 79 Routes.           R.] auJourdhuy quinZieme Jour De may milSept Cent Quatre Vingt DiX   Nous officiers municiPauX Et notables assemblés En... [Lire la suite]

Le vendredi 15 mai 1790, la municipalité de Mamers décidait de se porter acquéreur des travaux de réfection de la route menant à Saint-Cosme-en-Vairais par adjudication au rabais le lundi 18 mai prochain. Et ce afin de fournir de l’ouvrage à ses concitoyens privés d’emploi.  « [marge gauche haut du feuillet 55 verso : N° 79 Routes.           R.] auJourdhuy quinZieme Jour De may milSept Cent Quatre Vingt DiX   Nous officiers municiPauX Et notables assemblés En... [Lire la suite]

Le jeudi 14 mai 1790, se tint une séance de la municipalité de Mamers, alors que celle-ci avait arrêté le dimanche 10 précédent que la municipalité ne siègerait que les mardi et vendredi sauf affaires urgentes. Or ce jeudi on ne peut pas dire qu’il y eut une affaire urgente à traiter puisque la séance ne fut consacrée qu’à l’enregistrement de lois. Mais si nous en croyons les signatures seuls le maire et le procureur étaient présents.  « [marge gauche haut du feuillet 55 verso : N° 78 Lois    ... [Lire la suite]

Le jeudi 14 mai 1790, se tint une séance de la municipalité de Mamers, alors que celle-ci avait arrêté le dimanche 10 précédent que la municipalité ne siègerait que les mardi et vendredi sauf affaires urgentes. Or ce jeudi on ne peut pas dire qu’il y eut une affaire urgente à traiter puisque la séance ne fut consacrée qu’à l’enregistrement de lois. Mais si nous en croyons les signatures seuls le maire et le procureur étaient présents.  « [marge gauche haut du feuillet 55 verso : N° 78 Lois    ... [Lire la suite]

Le mardi 12 mai 1790, la municipalité de Mamers sur réquisitoire du procureur ordonnait à son trésorier, le sieur Tréboil,  de faire un compte-rendu de ses comptes et le remplaçait par le sieur Renard en réunissant les fonctions de secrétaire-greffier et de trésorier. Il ne s’agissait pas d’une sanction mais d’une impossibilité pour le sieur Tréboil de continuer ses fonctions de façon concomitante avec celle d’officier municipal. « [marge gauche haut du feuillet 55 recto : N° 77. C.] Cinquante Cinq.e auJourd’huy... [Lire la suite]

Le mardi 12 mai 1790, la municipalité de Mamers sur réquisitoire du procureur ordonnait à son trésorier, le sieur Tréboil,  de faire un compte rendu de ses comptes et le remplaçait par le sieur Renard en réunissant les fonctions de secrétaire-greffier et de trésorier. Il ne s’agissait pas d’une sanction mais d’une impossibilité pour le sieur Tréboil de continuer ses fonctions de façon concomitante avec celle d’officier municipal. « [marge gauche haut du feuillet 55 recto : N° 77. C.] Cinquante Cinq.e auJourd’huy... [Lire la suite]

Le dimanche 10 mai 1790, la municipalité de Mamers donnait pourvoir au sieur Le Camusat de la Fremonière, son chargé de pouvoir à Paris, pour affilier la ville de Mamers à un comité de députés de l’assemblée s’étant constitué rue de Richelieu à Paris afin d’y défendre les intérêts de la ville et notamment un siège de justice. Nous apprenons que la ville de La Flèche avait fait la même démarche. Nous ne connaissons pas de « comité » sis rue Richelieu mais il se pourrait qu’il s’agisse du futur club des jacobins qui se... [Lire la suite]

Le dimanche 10 mai 1790, la municipalité de Mamers donnait pourvoir au sieur Le Camusat de la Fremonière, son chargé de pouvoir à Paris, pour affilier la ville de Mamers à un comité de députés de l’assemblée s’étant constitué rue de Richelieu à Paris afin d’y défendre les intérêts de la ville et notamment un siège de justice. Nous apprenons que la ville de La Flèche avait fait la même démarche. Nous ne connaissons pas ce « comité » sis rue Richelieu mais il se pourrait qu’il s’agisse du futur club des jacobins qui se... [Lire la suite]