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La Révolution Française à Nogent le Rotrou

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La Révolution Française à Nogent le Rotrou
  • Nogent-le-Rotrou et son district durant la Révolution française avec des incursions dans les zones voisines ( Sarthe, Orne, Loir-et-Cher voire Loiret ). L'angle d'attaque des études privilégie les mouvements sociaux et les archives locales et départemental
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Le Pére Gérard

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20 septembre 2023

Le 20 septembre 1789 à Mamers : enquête sur Loriot cabaretier...

Le 20 septembre 1789 à Mamers : enquête sur Loriot cabaretier de la ville et mesures pour l’approvisionnement des marchés aux grains.

89-09-20 à Mamers

Le dimanche 20 septembre 1789, le comité de sûreté de Mamers entendait les témoins convoqués la veille à propos d’insultes qu’aurait proférées Loriot contre les officiers de police.

En préambule on apprend que le certificat présenté dès le lendemain de l’incarcération de Loriot ( soit le 9 septembre 1789 ) au comité afin de disculper ce dernier émanait de l’officier de police générale lui-même, Pélisson de Gennes, celui-là même qui aurait été pris à partie par l’aubergiste mamertin. 

De ce fait le comité avait pris la décision d’élargir le cabaretier trop vif, le jour même.

L’enquête à laquelle procédait le comité ce jour avait en fait comme but de justifier les décisions prises par le comité dans sa délibération du 8 septembre, les membres du comité devant être renouvelés le 22 du même mois. Des divers témoignages ( sauf celui de Marie Cordier femme d’un des meuniers de la ville qui prétendait ne rien avoir vu, comme s’était fréquemment le cas en cas d’agression mettant un cause un membre bien connu de la paroisse ) il ressortait que le nommé Loriot avait  bel et bien agressé M. Pélisson de Gennes et menacé de lui couper le cou, jurons à l’appui. Les motivations du citoyen Loriot étaient relativement claires, il s’agissait pour lui de chasser du marché les forains, soit ceux qui n’étaient pas de la ville de Mamers, pour s’opposer à l’enlèvement des grains par ceux que l’on nommait alors des blatiers, voire des accapareurs. En demandant à M. Pélisson de Gennes, s’il était du Tiers-Etat il désignait implicitement les accapareurs comme des gens au service de l’aristocratie, c’était aussi une façon bien marquée de montrer son hostilité à un personnage qui bien étant du Tiers, ce que Loriot savait pertinemment, n’en était pas moins un membre des élites au service de l’ancien régime encore en place. D’une certaine façon, on peut se demander, si Loriot ne remettait pas en doute l’attachement à la révolution en cours de Pélisson et de quelques uns de ses semblables, membres du Tiers, voire de la noblesse,  qui dominaient encore les institutions de la ville.

Pourquoi Pélisson de Gennes avait-il nié l’insulte qui lui avait été faite nous ne le savons pas, nous en sommes réduit à émettre des conjectures : peut-être que Loriot avait fait amende honorable en s’excusant ou bien le Bailly avait-il choisi de temporiser, la violence de l’altercation n’ayant finalement été que verbale … ou alors s’agissait-il d’une manœuvre politique comme manifestement semblaient le penser les membres du comité de sûreté de la ville.

En effet après délibération, le comité décidait de ne rien faire mais de consigner dans le registre la déclaration du lieutenant général de police et sa propre information pour servir en cas de besoin. Dans la fin de la délibération apparaissait clairement une défiance du comité vis-à-vis du Sieur Pélisson de Gennes, les membres du comité soupçonnaient que le geste de ce dernier était une façon de déconsidérer leurs actions, ils l’accusaient « d’avoir fait annoncer que chaque habitant Seroit libre de faire ou ne pas faire de Service dans les gardes de nuits [ de la milice nationale ]» et lui reprochaient les «  deffenses faittes par mondit Sieur de Gennes aux patroüilles établies les jours de la foire S.te croix de favoriser la perception des droits de laville ».

«  19.e  20.e

« Aujourdhuy Vingt Septembre mil Sept cent quatre vingt neuf.

Assemblée du comité de Sureté a été Faitte, à Laquelle a été exposé par M.r Le maire que par délibération du comité du huit Septembre dernier il auroit été arresté que le nommé Loriot Bouchonnier de cette Ville Seroit constitué prisonnier pour avoir insulté M M Les officiers de police faisant leurs fonctions à la halle aux grains le jour précédent ; que quoi que cette insulte ait été à la notorieté publique, il a été reprèsenté au comité par Marin Goüet armurier un certificat dont La Voicy les teneurs «  Nous Guillaume Joseph Pélisson de Gennes conseiller du Roy et de Monsieur, Bailly de Sonnois juge royal civil et criminel et lieutenant général de police au Baillage de Mamers, certifions à tous qu’il appartiendra, qu’il est fauX que le S.r loriot aubergiste demeurant en cette ville m’ait manqué [ sic : mots manquants ] hier Sous les halles de cette Ville ; en foi de quoy nous avons délivré le présent, pour Servir audit S.r Loriot et Lui Valoir ce que de raison. Donné à Mamers en notre hôtel ce huit Septembre 1789 Signé pélisson de Gennes » que D’après ce certificat et Sur la représentation qui en fut faitte le neuf de ce mois les membres du comité ne crurent pas devoir retenir Ledit Loriot plus longtemps prisonnier et prononcèrent à linstant Son Elargissement ; Mais comme  ce certificat tend á les inculper, et pourroit faire Soupçonner leur conduite, que d’ailleurs les faits qui ont donné lieu à cet emprisonnement ont eu La plus grande publicité, puisqu’ils Se Sont passés á l’instant de l’ouverture de la halle ; ils ont cru devoir Justifier leur démarche, en les constatant par les déclarations des différentes personnes qui en ont été temoin ; que pour cet effet Il auroit été délibéré le Jour d’hier qu’il en Seroit dressé procés Verbal ; qu’en conséquence Ils auroient fait à vertir chaqu’un de Pierre Le MarieuX marchand cý  devant meunier, françoise moulin femme de Marin Corneau, Marie cordier femme de Nicolas aubert meunier, pierre Lochet garçon meunier, Charles Esnault fils fabricant de toilles, et M.e Jacques charles antoine Lair docteur en médecine et membre du comité à Se trouver aujourdhuy huit heures du matin en L’audience lieu ordinaire des assemblées pour passer Leurs déclarations ; et faire part des connoiSsances qu’ils peuvent avoir, pour ensuite être par le comité pris telle Voie qu’il appartiendra ; En conséquence du quel avertiSsement

[ en marge gauche en haut du feuillet 19 verso :

N° 239

information

contre Loriot  ]

Est comparu Le S.r Pierre MarieuX M.d cy devant Meunier du Moulin de la ville dem.t en cette Ville, Lequel nous a declaré que S etant trouvé Sous La halle auX Bleds de cette Ville Le LundY Sept Septembre dernier M. PeliSson de Gennes Faisant Ses Fonctions de Lieutenant Général de Police pour  Le maintien du bon ordre Conjointement avec M. Lair L’un des Membres du Comité Le n.é Loriot Cabaretier de cette Ville S’Y Seroit trouvé et Sur La ReprésentatioN qui Fut Faitte à ce particulier par M. De Gennes de Se retirer de la halle n’aYant point a Faire de Grains, alors Loriot lui dit Sacré Dié estes vous du tiers etat ou n’en etes Vous Pas si vous n’en etieZ pas et qu’on vouLut vous coupper Le Coux  J’edrait à Vous Le Coupper est tout ce qu’il a déclaré et a Signé

P Marieux

 

Est aussi Comparue Françoise Moulin Femme de Marin Cosneau Boulanger demeurant en  cette Ville, Laquelle nous a declaré que S’etant trouvée Sous La halle de cette Ville Le LundY Sept Septembre + d.er [ rajout en fin de déposition : +  présent mois ] elle auroit entendu le n.é Loriot demander à M. Pelisson de Gennes alors en fonctions comme Lieutenanr Général de police estes vous du tiers Etat, estes vous Marchand de Grain autant quelle peut Se rappeller en laissereZ Vous encore achepter de maniere que les BourGeois n’en puisSent avoir qu’il ne Se Soucioit pas de ces M M  Messieurs eSt tout ce quelle a declaré et a Signé. DeuX Sillabes rayées comme nulles.

                                   Francoise Moulin

 

Est aussi Comparue Marie Cordier Femme de Nicolas Aubert Meunier demeurant en cette Ville, laquelle nous a declaré n’avoir aucune ConnoisSance Sur Les Injures proférées par Loriot Contre M. PelisSon de Gennes, quelle a Seulement entendu dire Sous Les halles qu un Magistrat avoit été InSulté par ce particulier, Est tout ce quelle a declaré et a Signé

                                                                           Marie  Cordier

                                                                           Famme aubert

 

Est aussi Comparu Pierre Lochet Garcon Meunier au Moulin de Fort manoir de cette ville y demeurant, Lequel nous a declaré qu’etant arrivé Sous Les halles de cette Ville Le LundY Sept Septembre present Mois Il auroit trouvé M. Pelisson de Gennes avec un particulier de la paroisse de Champessant dont Il Ignore Le nom que dans cet Instant Loriot dit à Mond. [ Mondit ] S.r De Gennes que Sil ne metoit pas ce particulier hors de La halle Il le mettroit lui même Et Feroit La police, et que Si Il en Vouloit pas Faire mieuX La police, Et que sil se tro qu’il Se trouva diX personnes Comme Lui Sous La halle Ils Lui couperoient

 

20.e

Le Coux et a declaré ne Sçavoir Signer. Trois mots rayés comme nuls.

 

Est aussi Comparu Charles Esnault Fabriquant de Toiles de cette ville Y demeurant, Lequel nous a dit que passant Sous Les halles de cette Ville Le LundY Sept Septembre de Ce mois Il auroit Entendu Le n.é Loriot Cabaretier de cette Ville dire à M. PelisSon de Gennes que s’il ne Faisoit pas La police qu’il Seroit ( que Le Diable L’emporte ) le premier à lui couper Le Coux et que MDe gennes Engagea Loriot à se retirer et qu’il en disoit assez pour qu’il Le Fit mettre en prison est ce qu’il a declaré et a Signé

                                        C. Esnault

Est enfin Comparu M.e Jacques Charles Antoine Lair, Docteur en Medecine de cette Ville y demeurant, Lequel et L’un des Membres du Comité de Sureté, Lequel nous a declaré que Le LundY Sept Septembre de ce mois etant Sous Les halles de cette ditte Ville pour Y maintenir Le bon ordre conjointement dans L’absence de M. Le Maire et Président du Comité de Sureté Il auroit Vu Le n.é Loriot aubergiste de cette Ville Se porter avec violence et dans une Espece de Fureur vers M. PelisSon de Genne Lui dire et bien Sacré Dié es tu du tiers Etat que M. De Gennes Lui repondit tu le Sais, que Loriot lui repartit Sacré Dié si t’en estois pas tien ( Lui portant Le point Sous le neZ ) je te Ferois Sauter La Barre du Coux qua cela M. De Gennes repondit Sais tu que tu en dis asseZ pour te Faire mettre en prison, ce qu’il a declaré et a Signé

                                                         Lair

                                                          m

Fait et arresté à L’audience du Baillage Lieu ordinaire des asemblées du Comité de Sureté de L’hôtel de Ville Les jour et an que dessus en présence de Messieurs Les Membres du Comité de Sureté et en assistance de nôtre Secretaire Greffier.

 Frebourg          Petithomme pere     denis dehais P. Aveline  

                                                                               Groüasé     aBot

   Sergent             Lair     odillard     Perrotte            Maignée

                              m.                       Vicaire             Maire

Villajeu          Monthulé         Homé

          Luce de rocquemont      

                                       Renard

                                      Secr.e  G.er

Et Ledit Jour Vingt Septembre mil Sept cent quatre Vingt neuf.

Les membre du comité de L’hôtel de ville assemblés pour dèlibèrer Sur les déclarations des temoins consignées dans le procés Verbal des autres parts, considérant quelles annoncent presque toutes que M Pélisson De Gennes a été Griévement insulté par le nommé Loriot Ledit jour Sept Septembre présent mois que d’après le certificat donné par M. Pélisson De Gennes ; il étoit indispensable de constater

[ en marge gauche au milieu du feuillet 20 verso :

N° 240

affaire de  Loriot  ]

les faits qui ont Donné Lieu à L’emprisonnement du nommé Loriot, + afin de Justifier la conduite du comité dans ces circonstances qui interesse aussi eSsentiellement le bon ordre ; que par l’element de L’information Sommaire qui vient d etre faitte, il résulte que M. De Gennes avoit été insulté grièvement Ledit Jour Sept de ce mois, et que par consèquent le comité a été en droit et devoit même Venger l’insulte faitte á un magistrat dans Ses fonctions ; que dans le choix que font respectivement Le certificat et l’information, et la contrariété qui Se trouve entre ces deuX actes ; on ne peut d’emêler qu’une intention marquée de la part de M. De Gennes d’inculper Les membres du comité ; Mais considérant ègalement qu’en prenant des voix rigoureuses il en résulteroit des Suites contraires au bien de la paiX, pourqu’oy ils est unanimement arresté qu’ils Se bornent pour toute Satisfaction à laisser consignèr dans les registres des délibérations Le certificat et l’information afin du moins de Justifier Leurs démarches auX YeuX de leurs Successeur Sauf cependant á en faire tel usage que les circonstances l’exigeront

Arresté également que L’ordonnance publiée le SiX du mois au nom du comité pour inviter les habitants non compris dans les corps de la milice à S’incorporer [ voir l’article : http://www.nogentrev.fr/archives/2016/11/08/34540908.html  ] Sera jointe au registre pour détruire l’impression faitte par mondit S.r De Gennes d’avoir fait annoncer que chaque habitant Seroit libre de faire ou ne pas faire de Service dans les gardes de nuits.

Arresté enfin qu’ils Veulent bien ne pas tirer à conséquences les deffenses faittes par mondit Sieur de Gennes aux patroüilles établies les jours de la foire S.te croix de favoriser la perception des droits de laville Sous prétexte qu’il n’avoit pas reçu d’ordres á cet ègard, tandis qu’une des principales causes de l’etabliSSement de la garde ce jour étoit le maintien du bon ordre et que le paiement des droits en fait partie.

Fait et arresté en l’audience du Baillage Les jours et an que dessus

./././. Vingt trois mots Tayés nuls./.         Perrotte Vicaire

Luce de rocquemont   P Aveline   J Gaulard   Villajeu   Sergent

aBot  Groüasé  Monthulé  Lair   Bouteveille

                                           m

odillard   J Frebourg   Homé    Maignée

                                                    Maire

                                                    Renard

                                                 Scr.e G.er

Enfin, le comité de sûreté réitérait les mesures de police des marchés prises le 11 septembre ( voir l’article :  http://www.nogentrev.fr/archives/2016/04/22/34564969.html ) : interdiction de vendre ailleurs que dans les halles et marchés et avant l’heure d’ouverture du marché … La répétition de ce type d’interdit montre bien que l’efficacité des mesures prises était pour le moins faible d’où l’exaspération de certains comme le citoyens Loriot qui reprochait à Pélisson de Gennes son inefficacité à assurer la police des marchés. Les membres du comité de sureté de Mamers bien conscients de ce peu d’efficience des mesures prises terminaient en appelant les particuliers à exercer eux-mêmes la surveillance les uns les autres.

89-09-20 halle aux grains

21.e

Du Dimanche VinGt Septembre Mil Sept Cent quatre VinGt neuF.

Les Membres du Comité Instruits que malGrès les Sages precautions qui ont été prises Jusqu’a présent pour le maintien du bon ordre dans les marchés AuX Grains, les Meunier ou leurs Garcons Sous pretexte d’Étre chargé de Faire  des achats pour des boulangers ou des pariculiers circulent Sous les halles et S’abouchent avec les laboureurs et les Fermier de sorte qu’a l heure de l’ouverture du marché les Sacs Se trouvent Fermés ; qu’il Sont egalement Instruits que les habitants de la ville et des campagnes qui conduisent plusieurs Sacs de grains Sont dans l’usaGe de N’en ouvrir qu`un Seul, et que la totalité Se Vend Sur cet Echantillon ; que cet usaGe prive Souvent les boulangers Et les particuliers de l’aprovisionnement dont Ils ont besoin quils Sont  Encore Informés que malGrè les deffenses  rèitterées de Vendre les grains dans les Greniers et ailleurs que dans les halles et marchés plusieurS personnes S’attroupent et Vont Nuitamment dans les Campagnes pour les enlever, que pour  determiner les  Fermiers et cultivateurs

[ en marge gauche au milieu du feuillet 21 recto :

N° 24

Pour les grains Sous

Les halles  ]

À Se prêter À une manœuvre Si contraire Au bien public Ils poussent la hardiesse Jusqu’au point de leur offrir un plus haut priX de leurs Grains que celui qu’ils trouveroient dans les marchés qu`une pareille Conduite merite Sans doute l`attention la plus Serieuse ; puisque elles leur à Favoriser les accaparements et à faire  monter cette denrée à un PriX ExcessiF.

En Conséquence le Comité Fait deffense à tous les meuniers et leurs Garçons et Autres personnes de Se trouver Sous les halles au Grain À L’ouverture du marché et pendant Sa durée leur enJoint de n’y paroitre qu`a l`Instant du Signal qui Sera donnè pour L’Enlévement, leur Fait Egallement deFFense d’acheter Aucuns Grains Soit pour les boulanGers et pour les particuliers Sous peine d être cités devant Messieurs les oFFiciers de police et poursuivis Suivant L’ExiGence du cas.

EnJoint à tous Fermièrs, laboureurs, Cultivateur et autres Personnes qui exposent des grains en Vente d’ouvrir tous les Sacs au I0[ rajout en fin de délibération : IO Commencement ] Commandantde la halle, enFin de mettre les acheteurs À portée de Faire au moins une partie de leur approvisionnement leur Fait deFFense de Vendre leurs Grains dans les Greniers et ailleurs que dans les marchès leur Fait Pareillement deFFenses à tous blatiers d’aller de Jour et de nuit dans les camPaGnes ; et d’En enlever  Clandestinement. Invite les citoYens à Surveiller les  uns et les autres, et à decouvrir les contraventions dont Ils pourroient avoir connoissance Pour être pris par le comité telle VoYe qu’il apartiendra.

Fait et arrêté en l’audience du baillaGe lieu ordinaire des assemblées de l`hôtel de ville les jour et an que dessus. Un mot Rayé nul

Lair        Sergent      Villajeu     P. Aveline

 m

Bouteveille

Perrotte Vicaire   Groüasé   aBot   Frebourg

Monthulé   odillard   denis dehais   Maignée

                                                         Maire

Luce de rocquemont   Homé   Renard

                                                 S.re G.er»[1]

 


[1]          AD 72 1MI 1343 ( R 130) – 110 AC 9, 11, 12 et  13.

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